Homme Inaccessible (Français) novel Chapter 1153

Chapitre 1153

Ne plus supportant cette scène, Clément qui avait gardé le silence s’est mis en colère. Il n’avait voulu pas se mêler dans leurs propres affaires qu’achever la mission d’envoyer Clélie à la cérémonie de mariage, c’était pourquoi il n’avait pas réagi lorsque Clélie avait subi les moqueries et même les injuries.

Cependant, il ne pourrait plus retenir sa colère contre l’implacabilité d’une telle famille.

Se tenant devant Chloé et Clélie, Clément a fait face à l’homme âgé en disant :

– Savez–vous que ce que vous faites c’est illégal ? Violer la liberté de contracter mariage, inciter à l’avortement et trafiquer les femmes sont tous illégaux !

Sans aucune peur, le père de Clélie a ricané:

– Pour qui vous vous prenez ? Cela ne vous regarde pas ! Encore, la violation de domicile est également illégale, comment osez–vous vous mêler dans nos propres affaires ?

-Bah, moi je l’ose et je l’insisterai ! s’est–il retourné vers ces deux femmes derrière lui, c’est l’heure de départ, allons–y immédiatement. Je n’épargnerai personne qui ose nous bloquer !

En fait, Clélie était pressée maintenant, car son retard allait certainement gâcher la cérémonie et fâcher sa belle–famille.

Après tout, son impression envers elle était déjà assez mauvaise. Le grand écart de deux familles restait toujours l’obstacle de son mariage.

Sous une telle pression, son fiancé avait insisté pour l’épouser à plusieurs reprises; pour rester ensemble et faire céder sa belle–famille, le jeune couple avait dû utiliser la stratégie de grossesse avant le mariage.

Donc, Clélie se moquait de l’embarras qui l’attendrait. Ça suffirait qu’on puisse se marier et mener la vie ensemble, même si les deux devraient rompre avec les familles.

L’air sérieuse, Clélie a déclaré à ses parents et à son frère :

–

Je sais que vous êtes fâchés contre moi. Mais après une vingtaine d’années d’obéissance, j’ai toujours pris en considération vos sentiments et vos pensées, sauf mon accès à l’enseignement supérieur. C’est la deuxième fois que je ne vous obéis, et en revanche, veuillez penser à moi s’il vous plaît. Moi je suis un humain, pas votre outil ni propriété, et j’ai le droit de courir après mon propre bonheur !