Chapitre 1276
Clothilde a déclaré avec indignation:
–
Mon père pourtant s’est toujours dit que la Cité J serait l’endroit le plus probable où tu pourrais te trouver. Mon père est venu plusieurs fois à la Cité J en personne, il a utilisé ses moyens pour vérifier tous les garçons de la Cité J qui ont à peu près le même âge que toi. Mon père a fouillé tous les postes de secours, les orphelinats et les organisations d’aide sociale non gouvernementale, mais il n’a trouvé ni toi ni aucune information pouvant le mener à toi.
–
– C’est impossible ! a lâché Clément.
– J’ai vécu à l’orphelinat de la Cité J pendant 10 ans, de l’âge de 8 à 18 ans, et je n’ai jamais changé de nom. C’est mon nom Clément qui se trouve dans tous mes informations personnelles à l’orphelinat, si l’oncle Bitoric était venu ici, il me trouverait certainement. Clothilde a dit fermement :
– Impossible! Au cours des dix dernières années, mon père est venu personnellement à la Cité J, et il est venu au moins cinq fois ! Le nombre de fois où il a envoyé des gens pour venir à ta recherche est encore beaucoup plus nombreux ! Il a épuisé tous ses contacts, mais il n’a pu trouver aucun indice pouvant le mener à toi.
–
Je me souviens encore que la dernière fois que mon père est venu à la Cité J, c’était pendant les vacances d’été quand j’avais 18 ans et que je m’apprêtais à aller étudier au Royaume–Uni, parce que j’y avais beaucoup insisté, mon père m’a donc amenée avec lui. Nous étions restés à la Cité J pendant deux semaines, nous avions mobilisé des centaines de nos employés, des informateurs et des détectives privés et nous avons passé au peigne fin toute la Cité J, mais nous n’avons pas pu trouver aucune information te concernant.
Clément écoutait silencieusement les paroles de Clothilde et voyant l’expression extrêmement sérieuse et excitée sur le visage de celle–ci, un sentiment de panique a soudainement déferlé dans son cœur.
Depuis la mort de ses parents, Clément a rarement été dans un état de panique, mais en ce moment–là, il a soudainement eu froid dans le dos.
Il a commencé à soupçonner qu’il semblait y avoir une tromperie choquante cachée dans sa tragique enfance.
« Je suis resté à l’orphelinat pendant dix ans, et l’oncle Bitoric est venu plusieurs fois me chercher dans toute la Cité, J, il est donc impossible qu’il ne soit pas venu à l’orphelinat de la
Cité J.
Alors pourquoi il n’a pas pu me retrouver à l’orphelinat ?>>
< Y a–t–il eu quelque chose qui n’allait pas avec l’orphelinat ? >>
< Se pourrait–il que l’orphelinat ait délibérément dissimulé mes informations personnelles ?>>
« Qui a donc demandé à l’orphelinat de le faire ?>>
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