Chapitre 1285
La question de Clément a affolé Léa.
Elle ne s’attendait pas du tout à ce que Clément lui pose cette question, alors elle a dit,
paniquée :
– Je… je n’ai jamais entendu parler de ça, si quelqu’un est vraiment venu te chercher, je te
–
l’aurais certainement dit, y a–t–il eu un malentendu ?
Clément a secoué la tête et a dit :
– Non, ce n’est pas un malentendu, tu le sais bien.
Sur ce, il a ajouté sincèrement :
– Léa, je ne suis pas venu te demander de rendre des comptes, tu m’as sauvé la vie et m’as élevé pendant dix ans, même si tu as quelque chose à me cacher, je ne t’en haïrai pas.
Entendant cela, Léa ne pouvait se retenir d’avoir honte.
Clément a poursuivi :
Je veux simplement savoir pourquoi on a dit à l’ami de mon père qu’il n’y avait personne de mon nom dans l’orphelinat quand il est venu me chercher ? Ce qu’on attend le plus, n’est–ce pas que les enfants puissent se retrouver avec leurs proches ? S’il en est ainsi, pourquoi l’ami proche de mon père n’a obtenu aucune information sur moi de notre orphelinat ? Qui lui a caché mes informations?
Léa a pincé les lèvres, l’air affolée.
Elle n’osait pas regarder dans les yeux de Clément, ni répondre à ses questions.
En la voyant ainsi, Clément était plus sûr que Léa connaissait le dessous de tout cela.
Puis, il regardait Léa et a demandé sérieusement:
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