Chapitre 1318
Kyan a donc cédé un pouce tout de suite :
– Hélas, pourquoi tu ne cesses de causer des ennuis?
Lorraine a répondu, indifférente :
–
– Comme tu l’as dit, je n’ai plus le droit, donc je dois faire quelque chose pour maintenir ma place à la maison; tu vois, ça marche, non ?
– Ouais, il a décidé à se rendre, t’as gagné, d’accord?
—
– Bon, Lorraine est redevenue arrogante, alors je vais exécuter mon droit, hein. Dis-moi, combien d’argent as-tu maintenant ? Tu me caches de l’argent, c’est ça ?
Kyan a été désespéré :
―
Je suis complètement fauché, fauché comme les blés ! Honnêtement, l’association n’est pas rentable; pour la vente des antiques, ça ne fait plus profit ! J’ai acheté quelques tableaux ces derniers jours, à prix de quelques mille, mais il s’avère qu’ils ne sont que des contrefaçons ! a-t-il raconté en soupirant, hélas, même Florentin n’est plus joignable, j’aurais voulu le chercher, mais je n’y suis arrivé comme s’il avait disparu totalement.
Son discours a amusé Clément.
Si ce Florentin achetait à prix élevé des contrefaçons de Kyan, c’était pour plaire à Clément ; mais comme marchand, bien sûr qu’il ne voulait pas continuer à perdre de l’argent. Donc Florentin échappait à Kyan, et c’était presque impossible à le contacter pour ce dernier.
Ne
–
pas croyant ses paroles, Lorraine a insisté :
– Allez, montre-moi tes comptes !
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