Chapitre 1477
À ces mots, Clément a souri et a dit :
– Il y a des tas de choses à régler. Je suis obligé de rentrer.
À ces mots, Bitoric a légèrement hoché la tête et a doucement soupiré:
-Ok. Tu reviens souvent me voir dans la Cité Y, d’accord? Sonia et moi, nous espérons que tu y déménageras.
Clément a sèchement réagi:
– D’accord.
Complice, Bitoric n’a plus insisté sur ce point-là. Il a redemandé à Clément :
—
– Tu vas assister à la cérémonie d’anniversaire d’un ami ? Est-ce que le cadeau est préparé ?
Clément a répondu :
–
– Non, pas encore. J’envisage d’aller en acheter un dans la boutique.
Encore qu’il y ait encore des pilules de renouveau très bénéfiques aux personnes âgées sur Clément, il croyait qu’elles étaient trop précieuses pour être données, à l’occasion de l’anniversaire, à la grand-mère de Lucile qu’il n’avait jamais vue. Selon lui, un cadeau coûtant des milliers d’euros était correct.
À ce mot, Bitoric a souri:
– J’ai un éventail brisé orné d’une peinture du peintre très célèbre laquelle a pour thème l’anniversaire. De plus, ses brins sont en santal violet de haute qualité. Ses gravures sont très fines. Tu peux en faire cadeau.
Clément a dit sur le coup:
– Non, cet éventail est à toi. Je ne peux pas le donner aux autres. Je vais acheter un cadeau moi-même.
Mais, Bitoric a insisté :
-Si. Prends-le. En réalité, cet éventail ne coûte pas cher. Mais, comme le thème de la peinture est l’anniversaire, je crois que c’est un cadeau d’anniversaire parfait pour la grand-mère de ton ami.
En disant, Bitoric a fermement recommandé:
– C’est entendu ! Je ne veux pas que tu continues à refuser ma proposition.
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