Chapitre 153
Ce soir, Gisèle est rentrée à la Résidence des Poincaré.
Au lieu de prendre un repos comme Clément lui avait dit, le grand–père de Gisèle restait dans la salle pour écouter le rapport de ses fils sur ce qui se passait récemment.
A la vue de sa petite–fille, M. Phillipe l‘a saluée tout de suite : – Gisèle, viens, je t‘attends toujours. – Grand–papa, a salué Gisèle, qu‘est–ce qu‘il y a ? M. Phillipe lui a demandé :
– C‘est toi qui as invité ce Maître Clément. Peux–tu me présenter ce monsieur ? Le plus détaillé possible.
– D‘accord, a–t–elle répondu, nous nous sommes reconnus par hasard dans la boutique
- JQ. Ce jour–là, il a accompagné son beau–père...
– Beau–père ? a répété le vieil homme avec les sourcils froncés, Maître Clément s‘est déjà marié ?
– Oui, a répondu Gisèle. – Quel dommage ! a soupiré Phillipe, c‘est vraiment dommage ! Le frère de Gisèle, Cédric s‘est empressé à prendre la parole:
– Grand–papa, ne t‘inquiète pas. J‘ai entendu parler qu‘il n‘est qu‘un gendre d‘une modeste famille.
– Ah bon ? le vieillard est devenu encore plus confus, quelle modeste famille a une telle chance ?
Cédric a souri:
– Les Xavier. Je ne pense pas que tu les connais.
– Non, a dit Phillipe d‘un air sérieux, si c‘est le cas, nous pourrons encore essayer.
Puis, il s‘est retourné vers Gisèle : – Gisèle, continue.
– Mon dieu ! C‘est vraiment magique ! a dit Phillipe, l‘air effrayé. Les autres Poincaré ont été hébétés de peur. Tuer un mec par la foudre... quel miracle ! Ensuite, Gisèle a ajouté :
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