Chapitre 158
Clément a donc conduit la voiture pour la Rue d’Antiquité.
C’était le week-end, le moment le plus bruyant.
Florentin était un ancien camelot ici et occupait son propre stand. Donc, à l’arrivée, Clément s’est dirigé pour le chercher
A ce moment-là, Florentin était en train d’introduire un faux jade à un couple étranger:
– Ce n’est pas un jade ordinaire hein. Il a une très longue histoire ! Cornme vous le savez, Marco Polo fit un tour en Chine, et apporta beaucoup de choses en Europe, y compris ce jade. Un jade chinois, cela symbolisait la dignité et la richesse, car tout le monde ne pouvait pas en posséder un, sauf les aristocrates…
– Vraiment ? a demandé le mari, alors ce jade coûte combien maintenant ?
Florentin a souri
– Eh bien, je vais vous donner un prix bas, 18,8 mille euros, qu’en pensez–vous ? C’est encore plus cher ailleurs!
La femme a fait une moue avec mépris:
– Bah, les choses sont vraiment chères dans la Rue d‘Antiquité ! C’est vol, non ? Chéri, on y va !
Cela dit, le couple étranger est parti. L’affaire ratée, Florentin a maudit :
– Merde! Les étrangers sont plus intelligents aujourd’hui
Clément l’a salué en souriant: – Hey, Florentin ! Tu escroques encore ?
– Salut ! a crié Florentin avec enthousiasme, M. Clément, vous êtes libre aujourd’hui ? Puis, il a flatté Chloé à son côté, vous êtes la femme de M. Clément, c’est ça ? Enchanté ! Que vous êtes belle ! Quel couple, vous deux!
Clément l’a interrompu :
– Arrête de nous flatter ! Je viens juste pour toi. J’ai entendu parler que tu veux acheter la crayon-vase de mon beau-père par le prix de trois cent mille, c’est ça ?
– C’est ça ! a dit Florentin, votre beau-père est incroyable ! Il a vraiment de la chance en achetant à prix bas une crayon–vase si précieuse !
– Ne dis plus de bêtises ! Tout le monde sait que cette crayon-vase est fausse, sauf mon beau-père. Tuľachetes avec trente mille, ce n’est pas gaspiller de l’argent ? Dis-moi, pourquoi ?
– M. Clément, vous êtes vraiment intelligent. A vrai dire, je fais ça pour votre bien. La dernière fois, j’ai vendu les pilules de la part de votre beau-père et j’en ai gagné quelques cent mille euros. Mais je me sens coupable, car ces pilules sont faites par vous, mais c’est moi qui en ai profité. C’est injuste pour vous.
– Excusez-moi, M. Clément! Je peux vous rendre tout cet argent ! Tout ce que je veux, c’est faire connaissance avec vous !
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