Chapitre 1594
Au fat les vacances scolaires approchant, les étudiants étaient occupés de preparer les examens finals. Seul Clement flinait sans but sur le campus, imaginant qu’iye avait fait ses etudes dans cette universite à l’époque
Ce qui le surprenait c’était le fait qu’une fille d’un ar si fragile etat en fait une étudiante studieuse dans Universite de Tokyo et même une bonne kick boxeuse ly avat vraiment plein de paradores sur elle
Jusqu’à la bibliothèque Clément a vu sur un lampadaire une affiche d’iyo qui portait un sourire brillant et charmant Surfaffiche il y avait des slogans de propagande pour encourager lyo à participer a la competition, en la conferant toutes sortes de titres comme la premiere boxeuse du Japon l’orgueil des Japonaises ainsi que la prétendante solide au championnat
Sut cela Clément a laissé échapper un soupr
Ces titres portaient les attentes des gens pour lys mais auss exerçaient les pressions sur elle, comme si elle devrait être assez digne des gros titres pour ne pas les décevor
Plutôt à ce genre de slogans utilitares, Clement preferat laisser faire de son mieux
Put Clement a sorti son portable pour prendre une photo de Caffiche comme souvenir
Le jour obscurcissant, lest sorti du campus
Dans la rue près de entree, une fille blanche qui jouait de la guitare en chantant a attiré ses attentions Bien qu’il y ait bien d’étrangers a Tokyo, c’etait rare de voir ici une europeenne chanter en public
Ce qu’elle chantait cetat la chanson celebre » Rien de nen – d’Edith Piaf
— Avec met souvenirs, jasaliume le feu/ Mes chagrins, mes plaisirs, je n’ai plus besoin d’eux / Balaye les amours, avec leur trèmolos/Balaye pour toujours, je repars à zero
Ben touche par ces lyrics, Clement s’est arrête la
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