Chapitre 1797
Le propriétaire du salon restait sans voix lorsqu’elle a appris que les deux femmes s’étaient battues.
Ne sont-elles pas juste en train de bavarder? Pourquoi se battent-elles?!
L’employée a dit :
– Je ne sais pas, elles se battent férocement, si vous n’allez pas les arrêter, je suppose que les conséquences seront très graves!
– Putain!
Le propriétaire du salon de beauté se sentait nerveux.
Il ne s’était pas encore enfui, et si quelque chose se produisait à ce stade pour attirer la police, il aurait de gros ennuis.
Il s’est donc précipité pour vérifier la situation, mais avant d’y arriver, il a entendu des voix à l’intérieur.
Lorraine criait :
– Merde, je ne peux pas m’occuper de Josette, je ne peux pas m’occuper de toi ?!
Et Clélia, qui avait manifestement le dessous, jurait en serrant les dents:
– Attends un peu ! Je ne te laisserai pas t’en tirer comme ça ! Je ne te laisserai pas vivre pour voir le soleil
demain !
Pah!
Lorraine a donné une autre gifle à Clélia :
– Comment oses-tu dire ça, si je t’arrachais la bouche !
Le propriétaire du salon a poussé la porte et a été surpris par les deux femmes ensanglantées, il s’est dépêché de refermer la porte.
Il a marmonné nerveusement:
–
Non, non, non ! Les conséquences seront graves si elles continuent comme ça !
Sur ce, il a couru immédiatement vers la porte de derrière du salon et dès qu’il l’a poussée, il a vu une
camionnette garée juste devant la porte, le coffre faisant face à la porte de derrière.
Il s’est précipité donc vers la voiture et a tapé à la fenêtre, Hugo a baissé alors la vitre et a demandé :
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