Chapitre 1829
A ce stade, Hugo l’a regretté depuis longtemps.
Se faire battre par les hommes de Mathieu n’était pas le pire, après tout, même s’il était blessé, il ne lui faudrait que quelques mois pour s’en remettre.
Le pire, c’était que « Interpol », qui venait d’arriver, allait les inculper, auquel cas ils ne pourraient certainement pas échapper à l’accusation d’enlèvement.
C’était un crime important ! Ils devraient passer au moins dix ans en prison!
Cette idée a brisé Hugo.
Alors qu’il était emmené par les hommes de Clovis, Hugo s’est étranglé et a dit :
S’il vous plaît… Est-ce que… Allez-vous vraiment nous envoyer en prison? Nous… Nous sommes tous sous les ordres… c’est Mathieu qui est vraiment derrière tout ça…
Brice s’est écrié à son tour:
Nous avons tort, mais nous avons payé un prix terrible… S’il vous plait, lassez-nous partir….
Hugo s’est retourné difficilement, a regardé son père dont les yeux étaient rouges et s’est écrié :
–
Père. Je ne veux pas aller en prison, père…
Brice a étouffé ses larmes et a dit :
Le moment venu, tu pourras tout rejeter sur moi, tu pourras dire que tout était mon idée et que tu ne savais rien, et essayer de faire en sorte que le juge te donne une peine plus légère…
A ces mots, Hugo a fondu en larmes.
Clovis s’est approché et leur a dit d’une voix froide :
–
– Arrêtez de pleurer ! Si vous pleurez encore, je vous enverrai vraiment en prison !
Quand Hugo a entendu cela, il a demandé avec incrédulité :
Quoi… Vous n’allez pas nous envoyer en prison ?
Clovis a dit froidement :
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