Chapitre 1874
Philippe s’est empressé de répondre :
– Madame, ce yacht a une autonomie maximale de près de quatre mille kilomètres, cela vous permet d’aller de la Cité J à Tokyo, mais comme il s’agit d’un voyage international, il vous faudra le signaler à la
douane à l’avance.
Lorraine a dit à Clément, toute excitée :
– Clément, qu’est–ce que tu penses d’un voyage au Japon en yacht?
Clément hésitait :
– Eh bien… quand on a du temps…
Lorraine :
– Ton beau–père, moi et toi, on n’a pas de travaille, Chloé a sa propre entreprise, et elle peut prendre des
vacances si elle le veut…
Chloé a dit :
Maman, ce n’est pas le cas, il faut travailler dur lors du début de la création de l’entreprise, je ne peux
pas partir en voyage…
Lorraine a dit :
Ce n’est pas grave, tu peux rester et continuer à travailler et laisser Clément nous emmener à Tokyo, comme ça tu pourras te concentrer davantage sur ton travail quand nous ne serons pas à la maison.
Chloé restaot un instant sans voix.
Elle voulait elle aussi voyager avec sa famille, mais Lorraine ne voulait plus attendre et l’a refusée de manière euphémique.
Elle a d’abord demandé à Chloé de voyager avec elle, mais celle–ci a refusé sous prétexte qu’elle devait
travailler.
Elle a alors dit à Chloé de rester, une réponse à laquelle Chloé ne s’attendait pas.
Chloé a donc dù dire à contrecœur :
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