Chapitre 1897
Mireille avait l’impression que sa situation était pire que lorsqu’elle était dans la mine.
En pleurant, elle repensait à sa vie-là et ne pouvait s’empêcher de soupirer :
A l’époque, quand j’étais dans la mine, même si l’environnement était mauvais, au moins après être devenue l’amante du contremaître, j’étais bien nourrie tous les jours! Non seulement je n’avais pas à avoir faim, mais je n’avais pas non plus à travailler beaucoup chaque jour, et je pouvais même ordonner à Capucine et à sa famille de faire des choses, et c’était une vie heureuse.»
<< Ce contremaître, même s’il n’était pas très beau, était très puissant sexuellement et, à un certain niveau, il m’a donné des expériences que je n’avais jamais vécues auparavant….
A cette pensée, Mireille a pleuré et a dit à Vivian à côté d’elle:
Nous avons eu tellement de difficultés ! Nous avons eu toutes sortes de problèmes, nous sommes fauchés, la société est en faillite, nous vivons dans la villa de quelqu’un d’autre et nous n’avons pas de quoi manger, quand est-ce que ça va s’arrêter…
Vivian a pleuré aussi,
Maman, notre famille allait bien et Yvon et moi avions une bonne relation, nous étions sur le point de nous marier quand les choses ont mal tourné chez notre famille.
Mireille a soupiré :
–
– Il faut aller à l’église et faire une prière, si ça continue comme ça, on va tous mourir.
Vivian a dit:
–
Maman, notre vie a changé depuis l’anniversaire de grand-mère.
– Hmm?
Mireille s’est étonnée :
– Quel anniversaire ?
Vivian a dit :
Juste le dernier, lors du dernier banquet d’anniversaire de grand-mère, Yvon avait donné à ma grand-mère un Bouddha de jade et Victor, qui aimait Chloé, avait demandé à quelqu’un de lui offrir un jade.
Mireille a acquiescé:
–
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