Chapitre 1962
Elle s’est dit :
* C’est Maître Clément qui m’a donné cette pilule et m’a demandé de la garder toujours sur moi, et je n’aurais jamais pensé qu’elle me sauverait la vie au moment critique !.>>
En pensant à Clément, Gisèle se sentait encore mieux.
Puisque Maître Clément m’a donné la chance de vivre, je dois retourner à la Cité J vivante !»
La Cité J n’était peut-être pas aussi prospère que la Cité Y ou la Cité O, ni aussi riche que les nouvelles villes de premier rang du sud, mais elle avait son propre charme et son propre patrimoine.
Les gens qui vivaient ici aimaient tellement cette cité.
Au moment où Gisèle se promettait de revenir vivante à la Cité J, un avion privé a décollé de l’aéroport.
Il s’agissait du avion privé des Poincaré, qui pouvait accueillir plus de vingt personnes, et disposait d’une chambre séparée.
Cédric était allongé sur le lit dans la chambre, un verre de vin à la main et le sourire aux lèvres.
Shigekazu l’a appelé et lui a dit :
Cédric, le véhicule dans lequel se trouvait votre cousine a fait une chute de plusieurs centaines de mètres d’une falaise à Nishitama-gun jusqu’au fond de la vallée, suivie d’une combustion spontanée, et votre cousine devrait être morte !
Cédric a ri d’un air sinistre :
Super! J’attendais ce jour depuis longtemps, et je l’ai aujourd’hui grâce à l’aide de vous.
Shigekazu a ri:
Cédric, à partir de maintenant nous allons travailler ensemble et faire de l’argent est la chose la plus importante!.
Cédric a souri et a dit :
Ne vous inquiétez pas M. Shigekazu, je te donnerai plus de bénéfices lors de nos futures, collaborations.
Shigekazu a dit:
–
Quand M. Cédric arrivera au Japon, allons boire un verre !.
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