Chapitre 1987
À midi, à Nishitama-gun.
Il faisait un beau soleil aujourd’hui et la visibilité était très bonne, ce qui favorisait bien les opérations de secours et de recherche.
Après une nuit entière de recherches infructueuses, toute la Police Métropolitaine à Tokyo a sombré dans le désespoir.
Donc, les policiers ont décidé d’élargir leur zone de recherche une dernière fois, dans un rayon de 20 kilomètres autour du lieu de l’accident.
Si leurs recherches restaient encore vaines cette fois, ils ne pourraient que déclarer Gisèle disparue.
En ce moment, Cédric était sur des charbons ardents.
Il espérait seulement que le corps de Gisèle serait retrouvé le plus vite possible, sinon, il n’arriverait pas à se rassurer tant que la mort de Gisèle était encore incertaine.
Shigekazu était également dévoré d’anxiété.
Maintenant, la police de Tokyo doutait fort que Gisèle et son entourage aient été victimes d’un meurtre prémédité, et a déjà lancé une vaste enquête.
Bien que les hommes de Shigekazu s’assurent de ne laisser aucune trace sur place, Shigekazu cragnait que la police trouve quand même des indices du crime. Après tout, il n’y avait pas de crime parfait dans ce monde.
Dans ce cas-là, sans aucun doute, il serait sévèrement puni par la loi.
En ce moment, dans la Cité J.
Phillipe était toujours attristé par la disparition de Gisèle.
Ce matin, il a passé plusieurs coups de téléphone à Cédric pour connaître comment se déroulaient les recherches, mais à son grand désespoir, aucune trace de Gisèle n’a été retrouvée.
Naturellement Phillipe espérait bien que Gisèle était encore en vie, mais il savait qu’il devait se préparer au pire. Après tout, à mesure que le temps passait, il aurait de moins en moins d’espoir de retrouver Gisèle vivante.
Donc, il a téléphoné à Clément pour demander de l’aide.
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