Chapitre 209
Vivian se plongeait dans une extrême mélancolie dans son coeur.
Le bonheur du reste de sa vie avait été une fois tout placé sur Yvon geul.
Mais elle ne s‘est pas attendue à ce que ce soit Yvon qui l‘avait poussée en enfer !
Ce qui était plus inacceptable pour elle, c‘était qu‘il avait manifesté son aversion contre elle devant tellement de personnes après l‘avoir abandonnée.
Cela la presque rendue dans la folie!
Face à son accusation, avec une mine assombrie, Yvon a dit d‘une voix froide :
– Ne fais pas de bêtises ici. C‘est normal de se séparer lorsqu‘on ne s‘aime plus. Ca n’en a rien à voir avec le respect
Voyant que Vivian semblait susciter des émeutes, Clément s‘est dirigé vers eux.
A peine qu‘Yvon a vu Clément, son teint devenait livide de peur. De crainte que Clément se sente mécontent, il a immédiatement donné une explication :
– Maître Clément, excusez–moi. Cette salope ne cesse pas de me harceler et crier ici. Vivian ne s‘est pas attendue à ce que son attitude envers elle soit si mauvaise par rapport au passé. Voire, il l‘avait appelée une salope afin de faire la cour à Clément, ce jean–foutre.
Elle était folle de rage dans son coeur !
Elle n’a plus pu supporter pour l‘instant. Elle a rugi de colère :
– Vous êtes si aveugles pour vous tromper, non ?! Clément n‘est que rien ! Il est juste un jean–foutre ! Pourquoi le flattez–vous tous ?! Pourquoi ?!
Etonné, Yvon lui a flanqué une gifle et l‘a excessivement injuriée : – Putain, tais–toi ! Comment oses–tu insulter Maître Clément ? Crois–tu ou non que je t‘assomme! Voyant sa petite–fille outragée, Mme Xavier était mécontente dans son coeur. Elle s‘est donc avancée et a dit d‘une voix froide :
– M. Vincent, occupez–vous de votre neveu ! Ne nous soumettez pas à des vexations excessives !
– D‘ailleurs, vous n‘êtes que rien. Comment vous avisez–vous de me demander de contraindre mon neveu ? Croyez–vous que je ne sache pas que c‘est vous, la vieille guenon qui a laissé Hugo arracher la villa que j‘avais donnée à Maître Clément ? C‘est grâce à Maître Clément et Mme Huet que je ne vous donne pas de troubles. Mais si vous continuez à donner des discours fleuves, je vous battrai ensemble.
A fortiori, même si leur famille était d‘une prospérité, elle ne serait pas qualifiée pour apprendre à Vincent.
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