Chapitre 2281
Entendant les mots de Carline, Denise a sombré dans la mélancolie.
Effectivement elle avait de l’adoration pour Clément, mais malheureusement, elle n’avait presque aucune possibilité de faire de nouveaux progrès dans sa relation avec
lui.
Tout ce qu’elle pouvait faire maintenant, c’était de s’épuiser pour promouvoir un meilleur développement du Groupe Roi, de sorte à payer la dette de gratitude qu’elle devait à Clément et à aussi apaiser son adoration pour Clément.
Voyant que Denise restait silencieuse, Carline avait le cœur un peu serré. Elle lui a serré la main et a dit sérieusement:
– Denise, j’ai très longtemps pensé que tu dois te marier le plus tôt possible, mais maintenant, je comprends que certaines choses ne peuvent pas être forcées. Donc à partir d’aujourd’hui, tu n’as qu’à vivre comme tu veux, et moi, je n’interviendrai plus dans tes décisions!
Béril a aussi dit :
– Oui, Denise, ta mère a raison ! Autrefois, nous nous mêlions toujours de tes affaires, c’est vraiment un manque de respect envers toi, mais maintenant, nous ne nous en mêlons plus, et tu peux agir de ta propre volonté !
Entendant ces mots de Carline et de Béril, Denise était très touchée.
Il y avait souvent des conflits ou toutes sortes de malentendus entre les parents et les enfants, et ces conflits et ces malentendus étaient pour la plupart dus à un manque de compréhension.
Les parents ne comprenaient pas les enfants, et les enfants ne comprenaient également pas les parents.
De nos jours, la plupart des parents souhaitent que leurs enfants puissent être admis à une bonne université, trouver un bon travail et bâtir une bonne vie dans les grandes villes.
Néanmoins, ils ne savaient jamais ce que voulaient leurs enfants.
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