Homme Inaccessible (Français) novel Chapter 2856

Chapitre 2856

Vivian a subi beaucoup de difficultés pendant ces deux dernières années, elle est donc maintenant bien consciente des règles dans la société, c’est–à–dire faire de son mieux pour se battre pour ses propres intérêts, et maintenant elle était responsable de ses employés, donc elle devait se battre pour les intérêts de tout le monde.

Lorsque Nikita a entendu la demande de Vivian, elle a immédiatement jeté un coup d’œil vers Wilfrid. Elle n’était que l’assistante de Wilfrid, c’était Wilfrid qui décidait de l’accepter ou pas. La mine de Wilfrid était très sombre, il a dit en serrant les dents : – Vivian est très gourmande, elle veut 100 000 euros, c’est une extorsion.

Nikita, voyant Wilfrid s’énerver, a rapidement dit,

– Monsieur, je la rejette alors?

Wilfrid a lancé un regard à Nikita et l’a grondée,

– Ça ne va pas, ta tête ? Si tu la rejettes maintenant, que se passera–t-il quand j’arriverai à la Cité J? Dis–lui que 100000 euros, c’est bien, mais je paierai d’abord la moitié, et le reste après le travail.

Wilfrid a pensé qu’il était trop urgent de signer le contrat, il voulait donc payer 50 000 euros au départ, puis refuserait de payer les autres 50 000 euros lorsque le travail aurait été fait.

Bien que la famille de Wilfrid soit très riche et qu’il soit une star reconnue, il avait donné pas mal d’argent pour se rendre célèbre et il devait continuer à investir pour maintenir sa popularité. Ce qui l’agaçait encore plus, c’était qu’il a choisi l’industrie de la musique pour poursuivre Clothilde, mais aujourd’hui ce n’était pas une carrière lucrative. S’il ne pouvait toujours pas réussir à poursuivre Clothilde, Wilfrid aurait même l’idée d’abandonner l’industrie du spectacle.

Nikita a compris ce que Wilfrid voulait dire payer d’abord 50 000, puis revenir sur les 50 000 restants. Même si elle ne voulait pas le faire, elle n’osait pas désobéir à son patron, alors elle a dit à Vivian:

– Mme Vivian, notre patron est d’accord, mais on paye d’abord la moitié, et quand ce sera fait, on paye l’autre moitié.

Vivian a immédiatement compris leurs intentions et a dit:

– Si votre entreprise est prête à coopérer, alors payez la somme totale, sinon, laissez tomber. Je n’accepte pas de négocier, désolée. »

En l’écoutant, Wilfrid avait l’air livide: