Homme Inaccessible (Français) novel Chapter 2889

Chapitre 2889

De plus, Arsène n’avait pas peur que Clothilde le refuse quand il lui déclarait son amour dans le concert, parce qu’il a déjà mis au point une stratégie pour y faire face: une fois refusé par Clothilde, il annoncerait par voie de presse le fait qu’il aimait tellement Clothilde qu’il a même dépensé 3 millions d’euros en secret pour perfectionner son concert, dans le but de faire stresser Clothilde.

Dovique pénétrait bien les intentions d’Arsène et a dit :

– Oh, merci. M. Arsène, c’est très gentil, mais notre entreprise coopérative de la Cité J nous a déjà envoyé la voiture qui nous emmènera à l’hôtel !

Arsène savait que Dovique a dit cela pour le garder à distance, alors il a dit en

souriant:

– Dovique, tu ne sais peut–être pas que le chauffeur que vous envoie votre entreprise coopérative a soudain fait un grave malaise ce matin et a été transporté aux urgences. Dès que j’ai appris la nouvelle, je suis accouru pour vous chercher. Après tout, vous avez tellement de bagages, et même si vous prenez un taxi, il n’y pas assez de place pour les emporter.

Entendant cela, que ce soit vrai ou faux, Dovique était gênée de refuser, alors elle ne pouvait que dire avec reconnaissance :

–

Merci beaucoup, M. Arsène…

Oh de rien, il n’y a pas de quoi, a dit Arsène à la hâte.

Sur ce, il s’est empressé de prendre la valise des mains de Dovique et a dit :

– Les voitures sont garées à la sortie, allons–y alors!

–

– D’accord, a dit Dovique en hochant la tête.

Puis, elle a immédiatement dit aux autres membres de l’équipe :

– Tout le monde, dépêchez–vous de récupérer les bagages, le temps est compté, et

nous devons nous rendre à l’hôtel le plus vite possible!

Très vite, toute l’équipe de Clothilde a fini de récupérer les bagages et s’est dirigée

vers la sortie avec Arsène.

En ce moment, à la sortie de l’aéroport, une dizaine de Rolls–Royce et deux fourgonnettes stationnaient le long du trottoir.

À cette vue, tous les membres de l’équipe de Clothilde ne pouvaient s’empêcher de faire des exclamations de joie.