Chapitre 3219
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Il ne s’agissait pas d’un choix entre la vie et la mort, mais d’un choix entre survivre avec les humiliations et mourir sans aucun
regret.
S’ils acceptaient les conditions de Quentin, les Huet survivraient. Mais les Huet perdraient leur dignité. Tant que les Huet étaient en vie, ils seraient toujours la risée des autres, et même après leur mort, les autres se moqueraient d’eux. Ainsi, Didier était en train de prendre le choix le plus difficile de sa vie.
Didier n’a pas su quel était le meilleur chemin, et les gens des Huet derrière lui, à ce moment–là, ont réfléchi aussi au choix qui leur était le plus favorable. La grande majorité des gens des Huet voulaient simplement garder leur argent et leur statut, et continuer à jouir d’une vie privilégiée Ils n’avait pas d’amour–propre, mais seulement un sentiment de supériorité dans leur cœur. Ainsi, au moment où ils étaient confrontés à la menace de la mort, ils voulaient seulement vivre. Tant qu’ils pouvaient survivre, la dignité n’avait pas d’importance pour eux. Dans le pire des cas, ils pourraient le reste de leurs biens et quitteraient le Pays C, iraient dans un endroit où personne ne les connaissait et passeraient le reste de leur vie en paix. C’était aussi mieux que d’être assassiné par le Dragon Noir. Mais Didier n’a absolument pas accepté une telle offre.
A ce moment, Vérany a regardé Didier et lui a demande :
-Alors, vous avez pris un choix? Allez–vous accepter ou rejeter les conditions de notre maître?!
Didier a résisté à l’immense pression et a dit,
– Veuillez informer votre Maitre, ces conditions sont trop dures pour nous les Huet, même si je suis vraiment prêt à vous céder la Montagne Huet, tant de cercueils des ancêtres des Huet sur la Montagne Huet auront besoin d’un certain temps pour être
retrouvés et transportés…
En disant cela, Didier a dit sérieusement:
– De plus, Méverin est mon fils, moi en tant que pere, je ne peux absolument pas laisser le cercueil de mon fils à quelqu’un d’autre, de plus, je l’ai déjà déçu une fois de son vivant, et je ne peux pas le décevoie encore une fois quand il est mort!
En entendant ces mots du vieil homme, Clément lui a jeté un regard. Il a été surpris que Didier ose dire une telle phrase à ce moment–là, et cela a changé un peu l’opinion qu’il a eue de lui. Didier a continué:
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