Chapitre 360
Pendant vingt ou trente km de route, les autres étaient tourmentés par l’odeur miserable dans la voiture, A peine arrivés, ils soutenaient Jérémie pour entrer dans l’hôpital. C’etait à ce moment-là que Jérémie se sentait mal foutu de nouveau… Il avait l’esprit brouille De ce fait, en regardant avec désespoir les autres près de lui, il a dit en pleurant: -Tant pis Je me sens mal à nouveau. Si je perdais la tête de nouveau, vous devriez me retenir ! Encore que ces quelques personnes ne soient pas encore revenues du choc, ils ont hoché la téte viscéralement. Pourtant, dans leurs esprits, ils ont dit « Nous nous efforcerons de le retenir sans aucun doute Mais nous ne sommes pas sûr de parvenir à le faire – Tout de suite après, Jérémie a soudain changé de visage. Il a crié avec folie – Où sont les toilettes ? Où sont-elles ? Tout le monde s’est regarde avec un coeur plein de désespoir… Comme de juste, cela a recommence! Que faisaient-ils? Alors le professeur a crie – Retenez-le la-bas! Ne lâchez pas votre prise cette fois-ci!
Tout le monde s’est donc empressé de le prendre à bras-le-corps et le coucher. Puis ils passaient la main sur ses quatre membres Le professeur a ajouté
– Attendez. Je vais appeler le médecin! Les trois camarades faisaient tous leurs efforts pour arrêter Jeremie mais le dernier se débattait de toutes sa force Un d’entre eux ne pouvait pas s’empêcher de parler
– Zut, je ne peux plus le retenir ! On fait quoi! – On n’a pas le choix. Continuez ! Un autre a dit – Attends Je vais détacher ma ceinture pour ficeler ses deux jambes! – C’est une bonne methode! Pour l’instant, Jérémie était étroitement mis sur le sol. Il était furieux et a crié sans réflexion – Lâchez-moi Dépêchez-vous de me lâcher!
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