Chapitre 410
Peu après, Albert a reçu de nombreux messages sur Facebook.
Il avait un groupe de Facebook dans lequel étaient les familles qui s’entendaient bien avec les Poulin. A présent, les grands maîtres de ces familles lui ont demandé sans cesse :
– Albert, pourquoi as-tu offensé Clovis ? Il est en train de mettre à prix la tête de ton père et toi avec cent millions ! Valide dès ce soir minuit ! Albert a changé de figure. Non seulement il était étonné mais aussi il avait peur. Avant qu’il réponde, on a apporté une autre nouvelle. – Oh, mon dieu. Vincent Weber, le chef des Weber vient d’ajouter cent millions d’euros à la prime de la chasse ! – Le chef des Barthélemy aussi ! Maintenant la prime s’élève à trois cents millions ! -Oh là là ! Les Poincaré aussi. Ils ont directement ajouté deux cents millions de plus. Alors c’est cinq cents millions maintenant ! Albert avait l’air påle. Il avait tant craint que son portable est tombé par terre, Tristan à côté s’est empressé de lui demander: – Albert, qu’est-ce qui se passe ? Tout suant, Albert l’a raconté à son père avec inquiétude. L’ayant appris, Tristan était aussi frappé de terreur ! Comment ça ? Pourquoi ce jeune homme était-il aussi influent? Même Clovis, les Weber et les Barthélemy lui avaient complu! Le pire était que même les Poincaré, la plus grande famille à Cité J l’avaient flatté ?! De quelle famille venait de ce type ?! Avec une prime de cinq cents millions d’euros, tout le monde souterrain passerait lui-même et son fils pour le trésor mobile ! Il avait enfin peur. Regardant Clément qui avait l’air calme, il s’est agenouillé sur le sol, ne pouvant pas s’empêcher de trembler! – Maitre Clément, pardonne-moi ! Pardonne-moi! S’agenouillant par terre, Tristan s’est mis à supplier :
– Maitre Clément, j’ai tort. Je ne t’ai pas reconnu. Je te prie de me pardonner. Je ne le ferai pas désormais. Tant que tu peux me pardonner, je peux faire n’importe quoi!
Clément les regardait sans la moindre émotion et a dit : – Vouloir vivre maintenant ? Vous étiez bien arrogants tout à l’heure, non ? Sans hésitation, Tristan s’est souffleté et a dit en pleurant : – Maitre Clément, j’ai oublié ma tête. Ma tête s’est égarée. Pardonne-moi, s’il te plaît… Puis, il a immédiatement rajouté: – Maitre Clément, dorénavant, Claude est le PDG du Groupe Poulin et le chef de notre famille ! Cela te satisfait ou pas ? Clément a répondu avec indifférence : – Si tu l’as dit au début, je me satisferais. Mais à présent, non. Saisi de peur, Tristan s’est empressé de demander : – Maitre Clément, comment pouvez-vous étre content ? Fixant les yeux sur Tristan et Albert qui semblaient pâle, Clément a dit d’une voix froide :
– Tu te moques de la Montagne Blanc et la mère de Claude grandissant sous cette montagne, n’est-ce pas ? Alors, ton fils aîné et toi allez déplanter le ginseng sur la Montagne Blanc de votre vie. D’ailleurs, vous ne pouvez pas quitter cette montagne dorénavant.
En parlant ici, Clément avait l’air cruel. Il a dit textuellement – Ecoutez bien, c’est que le reste de votre vie, vous ne pouvez pas la quitter !
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