Chapitre 4103
Cormier a hoché la tête, en répondant :
*310 Roman
– Parce que nous avons gagné de l’argent tout en dépensant. Le taux d’intérêt était très élevé les années précédentes, et l’argent s’accumule naturellement de plus en plus.
A ces mots, Cormier s’est interrompu avant de continuer :
–
Tu penses peut–être que nous sommes stupides et têtus pour gaspiller autant d’argent en vain, mals en fait, nous n’avons pas dépensé trop, nous avons même des employeurs qui nous aident à faire cette chose, alors nous n’avons pas besoin de le faire nous–mêmes. Enfin, nous pouvons peut–être gagner un peu.
Anderson ne pouvait s’empêcher de s’exclamer:
Pas étonnant que vous, les riches, soyez toujours les riches… Mais moi, une personne ordinaire, tout ce que je sais, c’est travailler dur pour résoudre des crimes et gagner un salaire dérisoire. Je n’ai aucune perspicacité dans ce domaine.
Cormier a repris sérieusement :
– En théorie, même si les riches n’ont que 100 millions de dollars, en déposant cet argent dans le fonds, ils peuvent assurer que leurs descendants n’auront jamais de problèmes financiers, tant que ces derniers ne gâchent pas leur argent.
Anderson était curieux :
–
– Alors quand ton neveu est trouvé, il aura 30 ou 40 milliards de dollars d’un seul coup?
– Non, il aura plus, a dit Cormier, quand l’état de mon père s’est aggravé, il avait peur de perdre conscience et de perdre son autonomie, alors il a versé plus de 60 milliards de dollars dans le fonds en une seule fois. Ainsi, il y avait un total de 100 milliards de dollars dans le compte du fonds. Puis, il a modifié les conditions de son contrat du fonds avec la banque JP Morgan Chase: seuls les bénéfices de cet argent sont utilisés pour chercher mon neveu, et quant à ces 100 milliards de dollars, ils sont tous laissés à mon neveu. Cependant, malgré cela, les bénéfices sont suffisants. Entendant ses mots, Anderson a allumé un cigare, a fumé, puis s’est redressé, a ajusté son col et a dit en souriant:
– Cormier, je peux être ton neveu ?
Cormier a été stupéfait, puis a réagi et a répondu :
– Va t’en!
Anderson a éclaté de rire, puis a repris :
–
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