Chapitre 4157
Clément a hoché la tête et a dit :
Eh bien, puisque vous avez acheté le stade, vous demandez aussitôt à votre assistant de libeller un contrat pour vendre ce stade à l’agence de Clothilde au prix d’un dollar ! C’est uniquement quand le contrat est signé et que le stade appartient tout entier à l’agence de Clothilde, que je serai suffisamment rassuré !
Entendant cela, Maret éprouvait une vive douleur:
* Pour faire plier Clothilde, non seulement j’ai grassement payé ce stade, mais j’ai aussi payé 10 fois plus de dédit à l’agence de Clothilde… >>
Mais malheureusement, loin de faire plier Clothilde, ça nous porte malheur… >>
<< Maintenant, en plus de nous humilier sans cesse, ce maudit Clément veut même nous enlever ce stade… >>
* Dieu ! Je suis vraiment en galère ! »
Voyant que Maret ne parlait pas, Clément a tapoté vigoureusement la table et a demandé d’une voix froide :
Comment! Tu n’es pas satisfait de mon arrangement?
En l’entendant, Maret a eu un frémissement et a dit sans hésiter :
– Si, si, je suis satisfait ! J’arrange ça tout de suite!
Cela dit, il a sorti son téléphone et a téléphoné à son assistant. Pour faire preuve de sa bonne volonté, il a mis exprès le haut–parleur.
Dès que le contact a été établi, il a dit au téléphone:
– Eh bien, on doit revendre le stade qu’on vient d’acheter à l’agence de Mlle Clothilde pour un dollar. Maintenant, tu emmènes aussitôt notre avocat à la rencontre de l’agent de Mile Clothilde et il faut s’assurer que ça finira le plus vite possible!
L’assistant a dit, stupéfait :
— M. Maret, nous venons de payer 10 fois plus de dédit à l’agence de Clothilde, mais vous allez leur offrir le stade maintenant ?!
Maret a crié, énervé :
– Tais–toi, fais simplement ce que je te dis!
L’assistant a dit tout agité:
– Oui, oui, M. Maret, je vais contacter l’avocat aussitôt… je viens de m’entretenir hier avec l’agent de Mile Clothilde au sujet du dédit, et j’ai ses coordonnées…
– Bon, va vite! a dit Maret.
Après avoir raccroché, Maret regardait Clément et a demandé respectueusement:
Clément, êtes–vous satisfait maintenant ?
Clément a hoché la tête et a dit :
– C’est bien, j’ai vu la moitié de votre sincérité, mais l’autre moitié dépend de votre comportement.
Maret se disait, stupéfait :
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