Chapitre 4172
Sylvie emmenait Cormier vers le centre médical des Breguet rapidement.
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Le centre médical possédait non seulement des experts pointus, mais était aussi équipé de plusieurs salles de réanimation, de maternité et de salles d’opération.
Les infrastructures ici suffisaient à servir les opérations de transplantation d’organes les plus compliquées au monde.
En ce moment, Achillas était dans la salle de réanimation la plus grande au centre médical.
Branché par les équipements et tubes médicaux, le visage d’Achillas était couvert par le masque à oxygène et il dépendait de respirateur pour survivre.
Sa femme, soit la grand–mère de Clément, était assise à son côté, elle tenait
la main droite d’Achillas et ne cessait de la frotter en pleurant.
Bien que les médecins soient devant lui, il n’y avait rien qu’ils pouvaient faire.
À leurs yeux, la vie d’Achillas toucherait bientôt à sa fin, juste comme la dernière flamme de la bougie qui était si faible et ne cessait de trembler avant de s’éteindre à tout moment.
En ce moment, la seule chose que les médecins pouvaient faire, était d’attendre la disparition de la flamme. Ce n’était pas qu’ils ne voulaient pas intervenir, mais dans un tel cas, un souffle fort pourrait éteindre la dernière flamme, donc la meilleure méthode était de ne pas déranger Achillas avant qu’il ne touche la fin de sa vie.
Alors que d’autres descendants des Breguet étaient tous dans la salle de repos en dehors de la salle de réanimation.
Le deuxième et troisième oncle de Clément étaient assis sur le canapé, et un homme âgé et mince aux cheveux blanches était assis en face d’eux, il murmurait en tenant le chapelet.
Alors que d’autres membres et leurs femmes s’asseyaient sur les longues chaises avec des expressions tristes.
Quand Sylvie et Cormier se sont lancés vers leur direction, toutes les personnes se sont immédiatement levées.
Armand s’est jeté vers Cormier avec les yeux rougis en sanglotant:
– Grand–frère, tu es finalement de retour…
Cradric ne pouvait pas s’empêcher de renifler avant de dire avec une voix tremblante :
–
– Cormier, père est toujours dans le coma, maman est dedans pour l’accompagner, entre et vois.
Cormier a hoché fortement la tête avant de dire d’un ton déterminé :
–
Ne soyez pas trop pessimistes, père a bravé les vents et marées pendant sa vie, donc ce petit problème n’est rien pour lui, il pourra sûrement le
vaincre.
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