Chapitre 4197
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Ils gagnaient de l’argent soit pour se faire plaisir, soit pour leurs familles. S’ils étaient simplement menacés de mort, ils feraient probablement des efforts pour acquérir une énorme pension pour leurs familles, cela les encouragerait à se battre.
Bien que les soldats du Dragon Noir qui sont arrivés à New York cette fois–ci soient tous des maîtres, pouvant facilement affronter les gardes du corps des Brunelle, Clément souhaitait toujours remporter la victoire sans avoir fait beaucoup de bataille, alors il voulait faire comprendre à ces gardes du corps que même s’ils mouraient aujourd’hui pour les Brunelle, ils n’obtiendraient pas de fortune pour leurs familles, mais qu’au contraire, ils compromettaient leurs familles, alors ils ne se battraient pas à tout prix.
De plus, le Dragon Noir était suffisamment dissuasif, sans parler de ces gardes du corps, même les Brunelle n’oseraient pas l’affronter, alors les gardes du corps avaient déjà abandonné l’idée de résister.
En ce moment, Quentin se tenait à moins de cinquante mètres de l’entrée principale du manoir. Il regardé fixement la villa, a souri froidement et a dit à haute voix :
Les gens à l’intérieur, écoutez, je vous donne une minute, au bout d’une minute, tous les gardes du corps qui ne sont pas sortis pour se rendre, tírez à
vue !
En disant cela, il a regardé sa montre et a dit d’une voix froide :
Ça commence!
Les gardes du corps qui avaient déjà perdu leurs esprits sont sortis en courant de la villa pour se rendre, tandis que les gardes du corps qui se trouvaient dans les salles sont descendus se rendre sans hésiter, car personne ne voulait être l’ennemi du Dragon Noir.
Une fois que les Brunelle ont vu que les gardes du corps s’étaient enfuis, ils étaient encore plus désespérés, ils regardaient tous Ardouin sans savoir quoi dire, espérant que lui, le chef de la famille, pourrait sauver la situation.
Bien qu’Ardouin soit également bouleversé à ce moment–là, il comprenait que le Dragon Noir arrivait d’un air menaçant et qu’il ne pourrait pas s’échapper même s’il le voulait, alors il a fait semblant d’être calme et a dit :
–
– Ne paniquez pas ! Dans cette situation, il est inutile de paniquer !
Maret a dit en pleurant :
– Père, Quentin est en bas, qu’est–ce qu’on va faire ? peut–être qu’on devrait se retirer en premier !
Ardouin a dit avec colère :
–
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