Chapitre 4207
→ Alors qui vous e dit que si vous trouvez une somme d’argent pour payer les familles des victimes, feffaire sera comandérée comme parfaitement résolue ? Qui diable vous a donné cette confiance ? Setnen était abasourdi, des sueurs recouvrant déjà tout son front.
Il savait que sa réaction de tout à l’heure avait mis Clément en colère.
Sétrien a dit respectueusement:
– Je suis désole M. Clement, c’est mon manque de considération….
Clément a dit d’un ton moqueur
– Ton fils a fait tant de choses mauvaises avant, mais ce n’est pas seulement sa faute, tu es juste trop égoiste, il est probable que ton fils ait été influencé par toi.
Des sueurs ne cessaient pas de couler, mais il n’osait pas en essuyer, il ne pouvait que s’incliner humblement et dire:
– Vous avez raison…
Clément a dit froidement :
– Je rendrai toutes les vidéos publiques plus tard, à ce moment–là, vous ferez mieux de tenir une conférence de presse à la première occasion et de vous excuser sincèrement devant le monde entier. Si vous le faites bien, alors je pourrai m’arrêter là, sinon, je tuerai d’abord le chef de la famille Brunelle, puis je laisserai le prochain chef de la famille continuer à s’occuper de cette affaire. Si le prochain chef de la famille ne me satisfait toujours pas, je le tuerai et chercherai un autre, jusqu’à ce que cette affaire soit correctement résolue !
Les Brunelle étaient terrifiés en entendant cela.
Clément n’y prétait plus attention et s’est tourné vers Quentin :
– Quentin, amène les hommes ici.
– D’accord M. Clément !
Quentin a lancé immédiatement un ordre à ses hommes.
Quelques minutes plus tard, un hélicoptère s’est posé juste devant la porte de la salle du rez–de–chaussée.
Plusieurs soldats du Dragon Noir sont entrés, escortant Alain, qui ne portait qu’un pantalon, ainsi que Stanisco.
En ce moment, les deux hommes avaient l’air malheureux.
Ils n’avaient pas d’oreilles et avaient des bleus sur tout le corps. Ils étaient échevelés et avaient l’air pâle comme linge.
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Alain était escorté à l’intérieur, et lorsqu’il a vu Maret et Ardouin, il s’est écrié immédiatement:
– Père, grand–père, sauvez–moi… Je suis presque torturé à mort…
Maret, de son côté, regardait son fils dans cet état misérable, il était naturellement très triste.
Maret a dit douloureusement:
– Alain… mon fils…
Dès que les mots sont tombés, Ardouin a donné un coup de pied sur son corps et a grondé avec colère :
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