Chapitre 479
Hubert s’était complètement résigné à son sort
Comparé à une vie passée à déterrer du ginseng dans la Montagne Blanc, pouvoir rester sur le chantier de la Cité J était déjà beaucoup plus heureux
Au moins, il pouvait encore vivre en ville, il pouvait encore rentrer chez lui, et il pouvait encore avoir un peu de temps libre Si c’était dans la Montagne Blanc, sa vie serait littéralement fini. Quand Clovis a vu qu’il était d’accord, il a renifle froidement et a dit : – Tu es déjà chanceux, sinon, je t’aurais emmené directement à la ferme de chiens aujourd’hui et je t’aurais fait manger aux chiens ! Hubert a hoché la tête avec panique et a dit avec gratitude – Merci M. Clément pour votre gentillesse… Merci Clovis… Clovis a dit directement à l’homme sous sa main
– Vas-y, emmène-le sur un chantier lointain, laisse-le habiter avec les ouvriers du chantier pendant la semaine, et il a seulement deux jour’s de congé par mois !
-Out, Maitre Clovis!
Deux des hommes de Clovis ont immédiatement traine Hubert à l’extérieur. Clovis a de nouveau pointé du doigt le Bertrand mourant sur le sol et a demandé à Clément – Maitre Clément, et ce vieux bâtard ? – La police sera bientót là pour l’arréter, a répondu Clément avec indifférence. A ces mots, une équipe de policiers s’est précipitée et a demande d’une voix forte – Qui est Bertrand Delaunay ?! Kyan s’est empressé de désigner Bertrand étendu sur le sol et a dit : – M Policier, c’est lui. Le policier s’est approche de Bertrand, a comparé les photos et a dit avec désinvolture: – C’est lui, emmenez-le ! Les autres policiers à côté ont demandé – M. Capitaine, cet homme est déjà blessé et inconscient, que devons-nous faire ? – Emmenez-le d’abord à l’hôpital. Après la reanimation, on va le détenir la dit ce capitaine Geoffroy, l’un de ses anciens camarades de classe, s’est empressé de demander: -M Policier, quel crime a commis Bertrand 7
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