Chapitre 675
Quand Mme Xavier a entendu que Brice allait vendre les meubles ou les antiquités de la famille, elle a tremble de colère. Elle a crie avec colére :
– Je peux supporter de vendre les meubles, mais pas question de vendre les antiquités ! Les antiquités sont ce que ton père m’a laissés de son vivant !
Brice a dit à la hâte :
-Maman, nous devons vivre le moment présent, non ? Comptes-tu cacher les antiquités jusqu’à ce que tu meures? – Quel connard ! a grondé Mme Xavier avec colère,
– Les meubles de notre famille sont tous enregistrés aux banques, une fois que les banques viennent nous saisir, surement ces meubles-ci seront détenus, mais les banques ne savent pas l’existence des antiquités, c’est à dire que nous pourrons quand même subsister de ces antiquités même si nous somme totalement en faillite et que cette villa a été scellée !
Tout s’est soudain éclairé dans l’esprit de Brice! Maintenant, ils vendaient des meubles, ce qui signifiait qu’ils utilisaient secrètement les propriétés qui seraient hypothéquées aux banques à des fins personnelles.
Mais s’ils vendaient des antiquités, sûrement les banques apprendraient l’existence des antiquités et employeraient alors tous les moyens possibles pour les découvrir
Par conséquent, ils ne pourraient vendre les antiquités que dans des circonstances suprémes. En y pensant, Brice s’est dépêché de dire à Mme Xavier d’un ton flatteur : – Maman, tu as raison, je t’écouterai. Mme Xavier a dit froidement : – Si tu m’avais écoutée plus tôt et m’avais donné l’argent, nous ne nous retrouverions pas maintenant dans une situation aussi misérable! A la pensée que la famille Xavier actuelle a perdu toutes les sources financières et était lourdement endettée, Mme Xavier était toute påle de colére
Tout ça, c’était à cause de la salope, Mireille ! SI Mireille ne s’était pas enfuie avec tout l’argent, comment leur famille Xavier pourrait-elle étre comme ça ?
Mme Xavier comptait initialement utiliser 0,8 million d’euros de Brice pour rembourser une partie des dettes de leur famille, ce qui leur laisserait au moins un certain temps pour trouver d’autres solutions.
Mais maintenant, tout était fini ! Ils n’avaient plus rien! En y pensant, Mme Xavier ne pouvait s’empêcher de frapper du poing sur la table et a grondé rageusement :
– Merde, si j’avais su le vrai visage de cette maudite Mireille ! Je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’elle soit un grand traitre, Lorraine et elle sont de même fabrique ! Ce qui je regrette le plus de toute ma vie, c’est de la laisser t’épouser ! J’aurais dû la chasser de la famille Xavier et la jeter dans les rues !
Sur ce, Mme Xavier a poursuivi en serrant les dents :
– Maintenant, avec plus d’un million d’euros en main, elle doit être en train de s’amuser et de jouir de la vie avec son gigolo quelque part, comme elle est heureuse !
Mais Mme Xavier n’imaginait absolument pas que la situation actuelle de Mireille était en fait bien pire qu’elle.
Chaque jour, Mireille devait extraire 12 heures du charbon dans les mines de charbon sombres, et ses jambes étaient même ligotées avec des chaines de fer pesant environ 5 kilos à tout moment, ses mains et ses pieds étaient déjà pleins de cloques et de blessures.
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