Chapitre 696
Brice a repris courage pour dire :
-Mamen, avec cette somme d’argent, même si le tribunal l’infligeait une peine de prison au lutur, Hugo, Vivian et moi, nous pourrions mener une vie stable. Cependant, si tu refuses de nous donner les antiquités, nous serions morts de faim dans la rue du cas où tu t’incarcérerais.
– Mourir de fajm ? Vous ? Il n’en sera pas question ! a odmonesté Mme Xavier, vous êtes tous en bonne santé Vous ne pourrez pas mourir de faim même si vous travaillez comme baloyeurs. Brice, écoute, ces antiquités que ton père a laissees sont destinées à me sauver la vie! Ny pense plus ! Tu ne peux pas y toucher!
Ne pouvant plus contenir le feu de colère, Brice s’est relevé tout d’un coup et a proteste – Papa a laissé son patrimoine à ses enfants. Pourquoi tu t’en es emparée ? Mme Xavier s’est enragée :
– Comment ? Tu as osé me contredire ?! Oui, tu peux hurler contre moi comme tu veux maintenant Mais si j’etais morte, aucun d’entre vous ne pourrait savoir où se trouvent les antiquités ! Et toi, tu ne pourrais rien obtenir!
Tout en disant, elle a ricané:
– Moi, une vieille, j’en ai déjà marre de la vie. Je ne crains pas la mort. Mais avant de rendre le dernier souffle, je ferai etablir un testament pour faire la donation de mon assurance vie. Vous ne pourrez pas heriter un sou de moi Par ailleurs, comme vous n’avez n de connaissances ni de ressources personnelles, la vie ne sera pas facile pour vous. Donc, si la famille Xavier eloit ruinee et que je sois morte, vous serez devenus sinon mendiants dans la rue, au moins les plus pauvres de la société Ce qui vous attendrait dans ce casa, ce serait la pauvreté et la souffrance’
Ces propos ont jeté Brice dans la stupeur sur-le-champ. Cette fois, il n’en pouvait plus. Vraiment.
Ses deux enfants comme lui n’avaient ni d’argent ni de capaciles d’en gagner. Conscient de ce gros probleme, il croyant que tout serait fichu pour lui si sa mère était morte et que celle-ci faisait don de son assurance vie
A cette pensée, il a été obligé de contenir son feu de colère pour se manifester plus docile en expliquant – Maman, je suis juste un peu énervé. Pardonne-moi. Mme Xavier a dit avec condescendance – Ok! Je comprends ! A ce moment-là, quelques voitures de la banque et du tribunal se sont garées devant l’entree de la villa des Xavier
Et puis, une foule d’agents en uniforme du tribunal et quelques employés de la banque se sont håres de server vers la porte avant de frapper avec force.
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