Chapitre 808
Eloic a falt la moue et a dit avec un sourire :
– Toi, tu dois savoir que tu es un homme marié après tout, tu ne dois pas roder autour d‘une autre femme, ou nourrir de mauvaises intentionis envers d‘autres femmes, sinon, si ta mégère de femme venait à l‘apprendre, les carottes seront cuites pour toi.
Kyan a dit avec beaucoup de colère : – Éloïc. de quoi parles–tu ici ? Quand est–ce alle falt ce dont tu m‘accuses? Laisse–moite dire, c‘est pas parce que tu es riche que tu dois te permettre de battre le chien devant le loup, ceci ne marchera pas avec moi!
Valentine était très embarrassée, elle a commencé à perdre patience et a dit avec beaucoup de colère : – Vous deux vous ne pouvez pas arrêter de vous disputer n’est–ce pas ? N‘ai–je pas dit tout à l‘heure que nous sommes ici aujourd‘hui pour célébrer nos retrouvailles entre anciens camarades de classe, pas pour que vous vous disputiez ici. Si vous continuez comme ça, alors je m‘en vais! Kyan a dit à la hâte :
– Valentine, tu l‘as entendu aussi, c‘est ce vieux connard d‘Éloic qui met de l‘huile sur le feu ! Éloic était un grand homme d‘affaires, tout le monde lui témoignait beaucoup de respect partout où il allait. Il était donc très mécontent quand il a entendu Kyan le traiter de vieux connard en ce moment-là. Alors il a frappé violemment la table et s‘est levé en criant avec colère : – Kyan, qui diable traites–tu de vieux connard ? Kyan lui a aussi emboîté le pas, puis il lui a lancé un regard intimidant en disant: – Je m‘adresse à toi, qu‘est–ce que tu peux y faire ?
Éloic a dit froidement :
– Kyan ne pense pas que c‘est parce que tu es un ancien camarade de classe que je ne vais rien te faire, je te dis, si tu m‘énerves vraiment, je te donnerai une bonne leçon, tu penses que j‘ai quitté Londres et suis venu à la Cité J pour être intimidé par un bon à rien comme toi ? Tu devrais réfléchir à deux fois avant de te frotter à moi, je suis beaucoup plus riche et beaucoup plus puissant que toi. Kyan a commencé à manquer d‘assurance tout d‘un coup, sur le plan de la richesse, il ne pouvait même pas sortir 1000 euros en ce moment–là. La villa dans laquelle il habitait était celui de son gendre Clément, il n‘arrivait donc pas du tout à la cheville d‘un grand homme d‘affaires comme Éloic.
– Éloïc, que veux–tu ? Si tu persistes à vouloir semer la pagaille, alors je ne pourrais que te demander de sortir, le cas échéant il ne faudrait pas me blamer.
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