Chapitre 844
Clément ne pouvait s’empêcher de s’exciter à la pensée qu’il allait bientôt voir Léa.
Dès le banquet d’anniversaire de Mme Xavier’lors duquel il s’était fait réprimander pour emprunter de l’argent, il n’a jamais revu Léa, car Léa avait été directement envoyée à la Cité Y par Savin à ce moment-là. Clément avait une relation profonde avec Léa, et même illa considérait comme sa mère.
Lorsque Léa venait de tomber malade, Clément avait trouvé par tous les moyens possibles de l’argent pour payer les frais médicaux de Léa, il avait même secrètement vendu du sang et avait aussi pris beaucoup d’économies personnelles de Chloé. Le but de tout cela, c’était de garder Léa en vie. S’il n’avait pas fait de son mieux pour amasser des fonds pour Léa, peut-être que Léa serait déjà morte avant que Savin apparaisse. Cependant, Clément pensait qu’il n’avait fait que ce qu’il devait faire, parce qu’il devait à Léa une dette de gratitude qu’il ne serait jamais capable de payer Son père lui avait aussi enseigné d’innombrables fois de son vivant qu’il fallait chercher à payer de retour les bienfaits des autres, et Clément s’y conformait toujours. Donc, Clément a directement enlevé son tablier et est sorti de la cuisine, sans se soucier nullement des nouilles en cuisson. Il a dit tout agité à Chloé qui accompagnait Lorraine : – Chloé, je suis pressé, je vais aller à l’orphelinat tout de suite ! Lorraine a immédiatement demandé : – Tu veux sortir ? As-tu bien préparé les nouilles ? Je n’ai pas encore mangé ! Clément la regardait avec dégoût et a dit d’un air indifférent: – Les nouilles sont dans la casserole, tu peux les verser toi-même ! Léa s’est rétablie et est retournée à la Cité J, je vais lui faire visite. Quand Lorraine a entendu cela, il a immédiatement grondé avec colère : – Bâtard, comment oses-tu me parler sur ce ton juste pour une vieille bique de l’orphelinat ? Tu n’es qu’un gendre matrilocal, n’oublie pas que c’est moi qui te donne à manger, à t’habiller et à te loger ! Sur ce, elle a poursuivi en ricanant:
– Même si cette vieille bique meurt, qu’est-ce que cela a à voir avec toi ?
- Moi, je n’ai plus un sou dans la poche, si Clément ne me laisse vraiment pas vivre ici, comment faire ?» En pensant à cela, Lorraine ne pouvait s’empêcher de se sentir nerveuse et effrayée, d’autant plus que Clément avait l’air très furieux en ce moment,
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