Homme Inaccessible (Français) novel Chapter 917

Chapitre 917

A ce moment–là, Clément a dit d‘une voix forte en utilisant le système de sonorisation de l‘hélicoptère : – Ecoutez, les personnes à l‘intérieur de la voiture, vous êtes cerclés. Rendez–vous tout de suite, sinon, vous serez tues! Sur ce, les sept personnes dans la voiture ont eu une peur bleue. Abélard était bien stupéfait, car il ne s‘attendait pas à ce que Clément puisse faire tout ça pour l’attraper. Sa famille tremblait de peur à ce moment–là. Ils pensaient juste partir en vacances aux Maldives après avoir reçu l‘argent, mais ils étaient maintenant pris dans un tel filet Axel était encore plus pan!qué.

Non seulement il le regrettait tellement, mais il était aussi terrifié. Mais à ce moment–là, il a soudain repris ses esprits et a senti que la voix provenant de l‘hélicoptère lui était famillère. Mais pendant un moment, il n‘a pas reconnu la voix de Clément D‘un air paniqué, Axel a demandé à Abélard :

– On fait quoi maintenant ? Même le toit de la voiture a été découpé. Ces gens ont tous des armes, et s‘ils nous tirent dessus ?

La soeur d‘Abélard a crié de peur : – Abélard, nous n‘allons pas mourir ici aujourd‘hui, n‘est–ce pas ? Je suis encore jeune et je ne suis pas encore mariée ! – Arrête ça ! Je ne suis pas marié non plus ! En entendant sa sœur pleurer, Abélard est devenu encore plus agacé. Clément regardait les sept personnes de l‘hélicoptère. Quand il a constaté qu‘elles n‘ont fait aucun mouvement, il s‘est donc irrité et a dit d‘une voix froide :

– Je vous donne trois secondes pour sortir de la voiture, sinon vous devrez en payer le prix ! A ces mots, il a immédiatement commencé à compter. – Trois ! A l‘intérieur de la voiture, la mère d‘Abélard pleurait : – Abélard, dépêchons–nous de sortir de la voiture, sinon j‘ai peur que ces gens nous tuent vraiment ! Abélard était hesitant.

S‘ils ne sortaient pas de la voiture, ils pourraient kidnapper quelques enfants et menacer ces gens de la vie des enfants pour s‘enfuir.

Mais s‘ils sortaient, ne seraient-ils pas à la merci des autres ?

– Deux!

Paniquée, la sœur d‘Abélard a dit :

– Abélard, dis quelque chose !

– Un!