Chapitre 1129
En ce moment–là, tard dans la nuit, à l’aéroport international de la Cité Y.
Le jet privé de Phors a atterri.
Tout au long du vol, il s’inquiétait car il a avalé le collier de rubis.
Il avait peur que le collier ne provoque une occlusion intestinale dans son estomac, car le cas échéant, il pourrait lui être fatale.
Heureusement, il a pu finalement atterrir sain et sauf à la Cité Y.
Dès que l’avion a atterri, il s’est dépêché vers le hangar où une ambulance l’attendait déjà.
La famille Chappelle avait un pouvoir et une richesse extraordinaire à la Cité Y, avec des actifs d’au moins 50 milliards d’euros, donc ils avaient non seulement leur propre équipe de médecins et spécialistes en soins de santé, mais ils avaient même leur propre hôpital privé.
L’ambulance qui est venue le chercher à l’aéroport a été envoyée par l’hôpital privé de la famille Chappelle.
Et dans l’ambulance se trouvaient le vice–président de l’hôpital et un certain nombre de spécialistes intestinaux.
En apprenant que le troisième jeune maître a avalé un rubis pas beaucoup plus petit qu’un ceuf et qu’il l’a avalé avec un collier, les spécialistes de l’hôpital privé de la famille Chappelle étaient extrêmement nerveux.
Parce qu’avaler des objets étrangers est une chose très dangereuse.
Surtout quand on avale quelque chose de grosse et de forme très complexe, le facteur de risque est encore beaucoup plus élevé.
Le collier n’était pas comme une simple pierre. S’il avait seulement avalé un rubis et qu’en plus le rubis soit bien poli et arrondi, ce ne serait pas un si gros problème, mais pour ce cas précis, il y avait une base en platine incrustée sous le rubis, qui était encore connectée à un collier en platine, c’était donc un problème majeur, il était facile pour tous ces éléments de bloquer les intestins, empêchant ainsi la personne concernée d’aller à la selle normalement, et le cas échéant une opération chirurgicale serait d’une nécessité absolue.
Phors était allongé dans l’ambulance, et son visage est immédiatement devenu très maussade lorsqu’il a entendu qu’il pourrait se faire opérer très probablement.
Il n’a pas pu s’empêcher de demander au spécialiste en chef:
– N’y a–t–il pas d’autre solution à part une opération? Je ne me suis jamais fait opérer
de toute ma vie.
Le spécialiste s’est empressé de lui dire :
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