Chapitre 1161
En ce moment, Chloé devait avouer qu’elle était un peu jalouse.
Elle supposait que Gisèle devait avoir un sentiment pour son mari Clément, sinon, cette femme ne le regarderait pas comme ça.
C’était à ce moment–là que Chloé s’est rendu compte que Clément et elle n’étaient pas très proches et qu’il y avait encore entre eux deux une certaine distance qui donnait envie aux autres femmes de s’arracher Clément.
Si le lien entre les époux était intime et même inséparable, naturellement il n’y aurait aucune possibilité pour les autres de s’y fourrer.
En y repensant, Chloé a soudainement ressenti une impulsion qu’elle n’avait jamais nourrie auparavant.
En la voyant en extase, Clément a dit à la hâte :
– Chloé, nous devons partir, sinon nous serons en retard.
Chloé a repris ses esprits et a dit avec un sourire un peu crispé :
– Bon, allons–y!
Gisèle a raccompagné les trois jusqu’à la porte du magasin. En les voyant monter dans la voiture, elle est enfin retournée dans le magasin à contrecœur.
Clément a rapidement démarré la Bugatti Veyron pour se rendre à l’Hôtel Hilton.
En ce moment, dans la salle de banquet de l’Hôtel Hilton, un homme, vêtu d’un costume soigné avec une broche au niveau de la poitrine, regardait anxieusement l’heure.
À côté de lui se tenait Karine, une femme de cinquante ans, l’air un peu froide, qui a dit avec colère :
– Stanis, Clélie est vraiment très impolie, elle n’est pas encore arrivée à cette heure–ci !
C’est sûr qu’elle se fiche de notre famille !
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