Chapitre 1162
À ce moment–là, Alban Bettencourt, père de Stanis, a aussi dit :
– Stanis, il faut vraiment que tu nous écoutes à ce sujet, de nos jours, un bon mariage doit reposer sur l’égalité des forces de deux familles. Bien que notre famille Bettencourt ne puisse se comparer avec les top familles illustres, nous sommes après tout une assez grande famille avec un capital de plusieurs millions d’euros et est aussi la plus développée par rapport à tous nos proches. Donc si tu te maries avec une demoiselle d’une famille aussi riche ou même plus riche que notre famille, notre famille se renforcera sûrement !
Cela dit, Alban a soupiré et a poursuivi avec regret :
– Mais je ne m’attendais pas à ce que tu t’obstines à épouser une telle femme aussi pauvre, ça me déçoit vachement ! Moi, je crains vraiment que notre famille devienne la risée de nos proches !
Stanis se sentait très peiné en ce moment.
Depuis que Clélie et lui sont devenus amoureux à l’université, ils s’aimaient toujours l’un l’autre et ne se sont même jamais disputés. À l’époque, tous leurs camarades enviaient beaucoup leur amour.
Il espérait bien que sa famille consentirait bien à son mariage avec Clélie, en ce cas, il serait le plus heureux homme du monde.
Mais malheureusement, ses parents n’approuvaient pas du tout ce mariage et éprouvaient un profond mépris pour Clélie.
Pourquoi ? Pourquoi ne pouvaient–ils pas voir les avantages de Clélie ?
C’était vrai que Clélie ne venait pas d’une famille riche, mais elle était vraiment une très bonne femme.
Cependant, bien que Stanis ait fait tous ses efforts pour convaincre ses parents, ces derniers désapprouvaient obstinément son mariage avec Clélie, même si Clélie était déjà enceinte de son enfant.
Stanis voulait même s’enfuir avec Clélie si ses parents poursuivaient leurs efforts pour empêcher ce mariage.
En ce moment, il ne restait que cinq minutes avant l’heure dite, mais Clélie n’est toujours pas venue.
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