Homme Inaccessible (Français) novel Chapter 4127

Chapitre 4127

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Hier, un attentat terroriste a eu lieu dans une petite ville du Japon. Au moment où le monde entier prêtait attention au dessous et au suivi de ce drame tragique, personne ne s’attendait à ce que les Ninjas Banosa, très célèbres au Japon, revendiquent la responsabilité de cet attentat.

La plupart des internautes étrangers a suivi cet évènement juste par curiosité, alors que les Japonais étaient très indignés après avoir regardé la vidéo. En un instant, d’innombrables personnes blâmaient violemment les Ninjas Banosa sur Internet et les qualifiaient de honte des Japonais.

Certains ont même proposé de rechercher les Ninjas Banosa dans tout le Japon pour les arrêter et les mettre en prison. De plus, certains droitiers ont appelé Yamaguchi–cumi, le plus grand gang de violence du Japon, à traquer et à éliminer ces traîtres des Japonais.

Hiroaki et Isoshi, après avoir lu les insultes accablantes sur Internet, ont failli s’évanouir.

Les responsables du Ministère de l’Intérieur japonais ont aussi été choqués.

Ils mentaient à l’origine, essayant juste de profiter de l’occasion pour accuser ces gens qu’ils avaient attrapés pour rétablir leur bon renom. Mais qui aurait cru qu’un mensonge deviendrait vrai ?

Pour le moment, en fait, les Brunelle étaient les plus fâchés.

En voyant la nouvelle, Ardouin a grondé avec colère :

– Les Ninjas Banosa sont fous ? Pourquoi ils ont soudain posté cette vidéo et ont admis qu’ils sont des terroristes? Juste pour nous affronter? A quoi bon? Ils seront aussi reprochés par le public, n’est–ce pas ?

Maret a été aussi stupéfait. Il a regardé la vidéo à plusieurs reprises, puis a dit en serrant les dents :

– Je ne comprends pas aussi. Les Ninjas Banosa doivent savoir qu’une fois qu’ils ont admis qu’ils sont des créateurs de l’attentat, les Japonais ne les laisseront pas partir.

Ardouin a soupiré, puis a dit, plein de ressentiment:

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– Heureusement, ils n’ont pas révélé notre identité et les responsables du Ministère de l’Intérieur japonais ne nous ont pas retrouvés, sinon, nous aurons de gros ennuis. D’ailleurs, Alain est encore dans les mains des kidnappeurs, nous ne pouvons pas faire tout ce que nous voulons maintenant…

A ces mots, Ardouin a serré les poings et a claqué la table, en disant en colère :

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